Sommes-nous seuls dans l’univers ?

C’est une des plus grandes questions que l’humanité se pose depuis toujours. Et aujourd’hui, les données astronomiques abondent : à grande échelle, presque toutes les étoiles ont des planètes. Statistiquement, il paraît donc improbable que la vie n’ait émergé qu’ici. L’hypothèse d’autres formes de vie ou d’intelligence n’a jamais été aussi plausible. Des programmes comme SETI écoutent le cosmos, prolongeant l’intuition d’Épicure ou de Giordano Bruno, convaincus que l’univers ne peut être vide de vie. Et pourtant, face à cette logique du nombre, le silence demeure…

Ce qui rend la Terre et la Lune si spéciales :
-   Une orchestration gravitationnelle précise dans le système solaire
-   Une collision rare à l’origine de la Lune, qui stabilise notre axe de rotation

Chaque paramètre semble être un « jackpot cosmique » ! comme l’affirme JP Bribing.

Pourtant, pour Nathalie Cabrol (astrobiologiste française), les ingrédients de la vie sont abondants dans tout l’univers. Grâce au télescope James Webb, de nouvelles exoplanètes sont recensées chaque mois.

Une boucle cognitive, ici… ou ailleurs ?

Finalement, si la vie existe ailleurs, cela ne contredirait en rien l’hypothèse d’une boucle cognitive. Un processus par lequel l’univers, à travers des formes de conscience, tente de revenir à ses origines, de se penser lui-même, de refermer le cercle de l’information. Peut-être que ce phénomène n’est pas unique à l’humanité. Peut-être que d'autres consciences, ailleurs, tentent aussi ce retour vers la source. Mais en l’état, nous restons les seuls à le faire, ou du moins à en être conscients.

Et cela rend déjà notre existence… précieuse

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Et si la plus grande histoire d’amour de l’univers se jouait déjà à l’intérieur de chaque atome ?